Le dernier rapport du GIEC, bien que noyé dans la terrible actualité de ce début d'année, est sans appel :
réduction de la disponibilité des ressources en eau et en nourriture (en Afrique, en Asie et dans les petites îles notamment) ;
impact sur la santé dans toutes les régions du monde (plus grande mortalité, émergence de nouvelles maladies, développement du choléra), augmentation du stress thermique, dégradation de la qualité de l’air... ;
baisse de moitié des aires de répartition des espèces animales et végétales.
Manque de volonté politique.
N'importe quoi!